NO MONEY KIDS + LEOPARD DAVINCI meets DIRTY DEEP
« La soirée Electro-Blues ! »
NO MONEY KIDS (FR)
Pas d’arrangements gadgets ni de concepts bling-bling, mais du rock qui cingle, les No Money Kids le scandent dans leurs refrains : ils ne feront pas de manières. Shuffles blues, guitares rageuses et nappes électro, décor lo-fi et esthétique vintage, les dirty Kids taillent dans l’os, de manière frontale, animale, et polissent leurs pépites à la sueur. A chacun ses bijoux de famille : en 1963, lors d’un gala donné en présence de la reine Elizabeth, John Lennon provoquait l’assistance d’un : “Les premiers rangs, vous pouvez vous contenter de secouer vos bijoux.” Avec les Kids, les rombières se seraient étranglées avec.
Leur ruée vers l’or n’a duré que deux ans. Né d’une rencontre en studio en 2013, le duo parisien composé de Félix Kasablanca (guitare-chant) et Jean-Marc Pelatan (basse-machines-samples), ne lambine pas et sort un premier EP “Old Man” en mars 2014. Félix le félin et Jean-Marc le métronome rafent quantité de prix : Paris Jeune Talents, Give Me Five, Tremplin Solydays/RATP etc. Ils tapent dans l’œil des médias puis écument les salles et les festivals : Blues-sur-Seine, Aurores Montréal, Culture Aux Quais...
Les Kids prennent de la bouteille, pas du pinard ou des bulles bourgeoises, mais un bon vieux whisky tourbeux. Faut que ça décape, à l’image de leur premier album “I don’t trust you”, dans lequel ils croquent la misère sociale, l’exclusion, l’homosexualité (“Man”), la marginalité (“Vagabond Train”) ou la vieillesse (“Old Man”). Des Kids génération Larry Clark. Autant d’hymnes rock qui ont séduit les “music supervisors” en France et à l’étranger, qui leur ont confié leurs “synchro” (Puma, les séries “Night Shift” et “Baby, Baby, Baby !”). La preuve que les kids ne sont pas toujours des sales gosses.
Site officiel / clip / live
+ LEOPARD DAVINCI meets DIRTY DEEP (FR)
Quand il s’agit de black music le gros chat DaVinci traîne souvent dans les parages... Dans ses productions et ses mixs électroniques, ou au sein de son groupe The Fat Badgers, il explore les effluves funk, disco, soul ou hiphop qui lui font taper la patte. Et le blues dans tout ça? La rencontre au détour d’un verre de jack avec la voix et l’harmonica chaleureux de DIRTY DEEP produit une étincelle immédiate, en toute simplicité entre la machine et l’âme du delta. C’est cette rencontre que les deux compagnons vous feront revivre en exclusivité Au Camionneur !
N’oubliez pas le PASS SEMAINE 60 €
Consultez toute la programmation de la 7ème édition de la semaine du Blues au CAM
Ouvert également à midi du Lundi au Vendredi, salle fumeur
Lieu : Camionneur
Adresse : Rue Georges Vodli
Ville : Strasbourg
Quartier : Quartier Gare
Département : Bas-Rhin
Région : Grand Est
Pays : France
Aucun commentaire sur cet évènement,